Dans cet épisode du podcast Naturellement Là, j’ai eu la joie d’échanger avec Laurent Marchand, créateur du Scan Bioénergétique, coach, auteur et conférencier. Une rencontre inspirante, riche en nuances, où nous avons parlé d’énergie, d’intuition, de transformation personnelle… mais aussi de science.
Cet échange m’a marquée, tant par la clarté de sa vision que par la simplicité avec laquelle il aborde des sujets aussi vastes que l’invisible, la conscience et la connaissance de soi.
Qu’est-ce que le Scan Bioénergétique d'après Laurent Marchand ?
Le Scan Bioénergétique, c’est avant tout une méthode de lecture énergétique. Elle permet de se connecter à l’énergie d’une personne pour en lire les informations : ses ressources, ses blocages, ses besoins, mais aussi les potentiels en sommeil.
Comme le dit Laurent Marchand : “C’est une lecture de ce qui est, pas une interprétation. On ne cherche pas à changer, à soigner, à réparer. On observe.”
Le praticien agit ici comme un miroir conscient : il capte et traduit les informations qui émergent du champ énergétique de la personne, sans chercher à influencer ni à guérir. C’est ce qui distingue le Scan d’un soin énergétique. Il ne s’agit pas d’une intervention, mais d’une observation éclairée, qui peut inspirer des prises de conscience et initier des transformations profondes.
Intuition et lecture énergétique : deux mouvements complémentaires
Laurent partage une distinction que j’ai trouvée essentielle : “La lecture énergétique vient de l’autre. La lecture intuitive vient de soi.”
Ces deux approches sont intimement liées, mais leur direction diffère.
- La lecture intuitive est un mouvement intérieur : c’est l’écoute de ses ressentis, l’observation de ses pensées, la reconnaissance de ses émotions. Elle nous aide à clarifier nos besoins, à mieux nous comprendre.
- La lecture énergétique, au contraire, est un mouvement tourné vers l’autre : elle consiste à se relier à l’énergie d’une autre personne pour percevoir ce qu’elle vit au-delà des mots.
J’aime beaucoup cette perception. Elle nourrit et affine la mienne sur la frontière subtile entre intuition et énergie.
Ces deux pratiques, chacune à leur manière, permettent de percevoir des informations subtiles sur soi ou sur autrui. C’est une forme d’écoute qui dépasse le mental – une écoute du vivant.
Une pratique de transformation, pour soi et pour les autres
Ce que j’aime dans le Scan Bioénergétique, c’est qu’il remet en mouvement. Les praticiens comme les personnes scannées vivent souvent un même processus : celui de la prise de conscience et de la responsabilité personnelle. Le Scan n’apporte pas de réponses toutes faites, mais il éclaire le chemin.
Laurent insiste sur un point fondamental : “Le Scan ne dit pas ce qu’il faut faire. Il éclaire, et après, c’est à chacun d’expérimenter.”
C’est une approche humble et puissante à la fois, qui respecte profondément la liberté de l’individu.
Entre science et énergie : un pont à construire
Nous avons également parlé du lien entre science et énergie, un sujet qui me passionne.
Laurent souligne que la science n’explique pas encore tout ce que les praticiens observent au quotidien, mais les découvertes récentes en physique quantique, neurosciences et biologie vibratoire ouvrent de nouvelles pistes.
De mon côté, je partage cette conviction : un jour, la science trouvera les mots pour décrire ce que nous ressentons déjà. En attendant, le vécu reste une donnée précieuse – celle qui parle au cœur avant de parler à la tête.
Une conclusion inspirante
Laurent conclut avec cette phrase qui résume à merveille sa philosophie : “Tout le monde a cette capacité. On a tous cette intelligence subtile en nous. Le Scan, c’est juste une manière d’y accéder, un outil d’entraînement, mais ce n’est pas le seul.”
Et c’est exactement ce que j’observe dans ma pratique : quand on se relie à cette dimension subtile de soi, la vie devient plus fluide, plus claire, plus alignée. C’est un chemin d’écoute et de confiance — vers soi, vers les autres, vers la vie.
Découvrir la formation de Scan Bioénergétique de Laurent Marchand.




